PHOTO A VENIR  
Rues et places de la ville


- C -

Rue Léon Caillez
Son nom vient de Léon Caillez (1823 - 1901), ancien maire de Soissons.

Boulevard Camille Desmoulins
Originaire de Guise (1760 - 1794), il appela aux armes dans les jardins du Palais Royal le 12 juillet 1789 et prépara l'attaque contre la Bastille. Il fut guillotiné en même temps que Danton.

Rue Albert Camus
Son nom vient du célèbre écrivain français (1913 - 1960), auteur notamment de La Peste.

Rue du Capitaine Letellier
Ancien chemin de Saint-Médard à Cuffies.

Rue du Capitaine Descamps
Henri-Clotaire Descamps fut capitaine de gendarmerie. Il entra dans la Résistance et fut arrêté par la gestapo. Déporté en Allemagne, il fut décapité à Brandenburg en 1942.

Place du Cardinal Binet
Parvis de la cathédrale et son cimetière.
Henri Binet (1869 - 1936) est originale de Juvigny, un village proche de Soissons.

Rue Carnot
Son nom lui vient de Lazare Carnot (1753 - 1823), un des créateurs de la géométrie moderne.

Square Paul CézannePaul Cézanne (1839- 1906) était un peintre francais impressioniste.

Rue du Champ Bouillant
Anciennes rues du Pont, de la Clef, du Champ Bouillant.
Ce nom de Champ Bouillant viendrait de massacres effectués en ce lieu en 923 et 979. Lors du dernier, on fit creuser une large fosse pour y ensevelir tous les cadavres. Une croix plantée servit de calvaire jusqu'à la Révolution.

Rue des Chaperons Rouges
Anciennes rues du Four-l'Evêque, de l'Hôtel-Dieu.
A la révolution : rue Brutus.
Ce nom de "Chaperons rouges" provient d'une enseigne d'un établissement tenu par des tonneliers.

Rue Charles Desboves
Honoré-Charles Desboves (1819 - 1899) légua à la ville de Soissons la somme qui permit la construction du Marché Couvert inauguré en 1911. La rue Desboves, elle, ne fut ouverte qu'en 1926.

Rue Charlemagne
Rue qui part de la Place Saint-Médard vers l'Aisne. Elle a été nommée en référence à l'Empereur.

Rue Charles Perin
Rue qui commence Rue du Général Pille et qui aboutit Rue du Château d'Albâtre.
Charles Perin fut administrateur de Soissons et légua à la Bibliothèque Municipale sa collection de documents sur l'histoire locale.

Rue Charpentier

Rue Charles Péguy
Charles Péguy (1873 - 1914) était écrivain. Il fut tué au début de la Bataille de la Marne en 1914.

Rue des Charliers
Rue des Chaalits ou Chanlits.

Rue du Château d'Albâtre
Elle commence Avenue de Compiègne et se termine Place Lamartine.
Le Château d'Albâtre qui n'était pas exactement situé sur la rue qui porte son nom était une demeure imposante, peut-être celle d'un gouverneur romain, qui doit son nom à la grande quantité de marbres blancs découverts à son emplacement.

Rue du Château Gaillard
A la révolution : rue de la Paix.
Elle commence rue de Saint-Quentin et se termine rue de l'Intendance. Son nom provient du château des comtes détruit en 1770 pour la construction du Palais de l'Intendance maintenant Hôtel de Ville de Soissons.

Avenue de Château-Thierry
Rue ouverte en 1892 après le démantèlement des fortifications. Ancienne rue du Faubourg de la Crise.

Avenue Choron
Cette rue fait la jonction entre les rond-points Pasteur et Lamartine.
Marie-Pierre-Gabriel Choron (1811 - 1891) a été maire de Soissons à partir de 1878.

Place du Cloître
Ancienne place du cloître Saint-Gervais.
A la révolution : place de la Convention.

Rue Clotaire
Elle est située entre la rue Clovis et la rue de Croisy. Elle doit son nom à Clotaire 1er, fils de Clovis, qui se vit attribuer le diocèse de Soissons à la mort de son père. Se repentant de ses actes de barbarie, c'est lui qui fit transférer les restes de
Saint-Médard en l'église qu'il fut construire.

Rue Clovis
Elle va de la Place d'Alsace-Lorraine jusqu'à la rue de Croisy. Cette rue a été baptisée ainsi en souvenir du roi mérovingien qui fit de Soissons sa capitale.

Rue Coligny
Elle fait se rejoindre l'avenue du Général de Gaulle à l'avenue de Reims.

Rue du Collège
Anciennes rues des Rats, Saint Nicolas, du Collège.
A la révolution : rues de l'Institut National, du Contrat Social.

Rue du Colonel Girardon
Petite rue qui donne sur le boulevard Raymond Poincaré. Le colonel Girardon fit partie du 67e Régiment.

Rue du Commandant Gérard
Rue perpendiculaire au boulevard Jeanne d'Arc et dans laquelle le réservoir d'eau de Soissons était installé.

Rue du Commandant Lerondeau
Elle prolonge la rue de la Congrégation, entre les boulevards Alexandre Dumas et du Maréchal de Lattre de Tassigny.
Jules Lerondeau (1863 - 1938) était commandant de la compagnie des sapeurs-pompiers. En 1925 il fut élu adjoint au maire en charge des finances. Il donna, de son vivant, la majorité de sa fortune à la ville de Soissons. A sa mort, ce sont sept immeubles qui lui revinrent.

Rue du Commerce
Ancienne Grande Rue. A la révolution : rue du Commerce.
Son nom lui fut donné en raison du Tribunal de Commerce qui était installé dans la rue (ex-Juridiction Consulaire des Marchands).

Avenue de Compiègne
Ancienne rue du Faubourg Saint Christophe.

Boulevard Condorcet
Situé entre le boulevard Paul Doumer et le boulevard Clémenceau.
Son nom lui vient de la Marie-Jean-Antoine Caritat marquis de Condorcet (1743 - 1794) était à la fois mathématicien, philosophe, économiste et homme politique. Député de la Convention, il organisa l'instruction publique.

Rue de la Congrégation
Ancienne rue de Glatigny. A la révolution : rue Molière.

Rue du Coq-Lombard
Ancienne rue des Lombards, rue des Juifs.
C'est l'une des plus anciennes ruelles de Soissons. Son nom lui vient d'une enseigne réprésentant un coq, fixée sur la maison "de change" occupée par des Juifs et des Lombards qui exercaient la profession de prêteurs sur gages / usuriers / banquiers.

Rue des Cordeliers
Anciennes rues des Febves, de la Grande Buerie, des Cordeliers, de la Comédie, de la Place d'Armes. A la révolution : rue des Sans-Culottes.
Son nom lui vient des Cordeliers (des religieux franciscains) installés dans la ville.

Rue Corneille
Ancienne rue des Fossés Saint Crépin. Elle donne rue Coligny.
Pierre Corneille (1606 - 1684) était un dramaturge français à qui l'on doit, notamment, Le Cid.

Rue Corot
Corot (1796 - 1875) était un peintre français considéré comme l'un des grands maîtres du XIXe siècle. Il peignit en 1833 une toile intitulée Vue de Soissons du haut d'un des bâtiments de la fabrique de Philibert-Paulin Henry, un ami de son père et industriel de son état (fabrication de tissus d'ameublement).

Avenue de Coucy
A partir du rond-point de Laon, elle part en direction de Coucy-le-Château.

Rue de CroisyElle démarre boulevard de Strasbourg et rejoint la rue Charlemagne.

 
© 2010 SP - Tous droits réservés